Le PDG monte au créneau, donne de la voix et montre la voie

C’est en fin de matinée que les Conseillers Porte-paroles du Parti Démocratique Gabonais ont convié la presse nationale et internationale à un déjeuner de presse visant le renforcement des relations de ce parti au pouvoir avec la presse gabonaise.

Dans le propos liminaire lu par monsieur Jo Dioumy Moubassango, le PDG est revenu sur la rentrée politique qui s’est tenue récemment, présidée par le secrétaire général de ce parti, Éric Dodo Bounguendza. 

Cette rentrée politique aura permis au directoire du PDG de prendre langue avec les militants et cadres de ce parti mais aussi de rappeler les règles de bases qui permettent au PDG de demeurer la plus grande formation politique du pays. Des félicitations ont été adressées aux cadres et militants pour le travail extraordinaire sur le terrain.

Le PDG par la voix de Germain Stéphane Iloko Boussengui et David Ella Mintsa, tous deux, conseillers porte-paroles, a réitéré son engagement de porter l’œuvre du Distingué Camarade Président du Parti et son rôle d’accompagnateur de l’action du gouvernement gabonais. 

Le Conseiller Porte-parole Junior Xavier Ndong Ndong a insisté sur la nécessité de tous les soutiens du Chef de l’état Ali Bongo, d’intégrer le PDG. Une interdiction formelle de création d’associations fictives leur a été signifiée.

Ce déjeuner de presse a été l’occasion de revenir sur l’action politique conduite par le secrétaire général du PDG en la personne d’Eric Dodo Bounguendza, qui suit la ligne des 2R, c’est-à-dire Régénération et Revitalisation, conformément aux hautes instructions du président du parti. 

Sur les questions d’actualité, le PDG a dit dénoncer et condamner les actes d’abus sexuels et de pédophilie si d’aventure ceux-ci étaient avérés. 

Enfin, le parti a aussi magnifié la démocratie et le respect des institutions, en ce qui est de la suspension de l’application des mesures de l’arrêté 559/PM des décisions gouvernementales, qui découle de la requête du copil citoyen introduite à la Cour Constitutionnelle. Le PDG a demandé aux gabonais de considérer que la Cour Constitutionnelle fait son travail, celui d’interpréter la loi. Il faudra donc que chaque gabonais soit capable d’accepter la décision finale de la Cour Constitutionnelle, lorsqu’elle sera rendue.